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La Corée, terre d'élection du Globish.

Jean-Paul Nerrière était, du 25 au 30 octobre 2008 l'invité de l'Ecole alternative "Haja center" à Séoul. Cet établissement d'enseignement secondaire fait partie du "centre pour la jeunesse et les études culturelles" ( The Center for Youth and Cultural Studies ) de l'Université de Yonsei .(http://creativitysummit.haja.asia/en/node/38)

En notable divergence avec les enseignements réguliers, cette école se concentre prioritairement sur le développement de la personnalité, le travail en équipe et la créativité. L'acquisition des savoirs nécessaires à une poursuite à l'université se fait en partie dans l'enseignement reçu, en partie à côté, à l'initiative des élèves, selon leurs appétits de destinée. Le résultat est convaincant, les réussites universitaires ultérieures étant éloquentes et démonstratives.

Cette école organisait le premier "sommet sur la créativité" de la jeunesse, avec d'autres écoles invitées des Etats-Unis, de Russie, de Hong Kong et du Danemark.

Jean-Paul Nerrière y était convié pour la raison que le concept de Globish a frappé cette école pour une créativité considérée comme insolite. C'est l'outil d'apprentissage exclusif de plus de soixante élèves qui y mesurent leurs progrès et s'en déclarent enchantés. Un prolongement de ce programme, avec les récentes évolutions des techniques du Globish, a été décidé et sera mis en place dès les prochaines semaines. L'un de ses aspects originaux sera que l'enseignement sera animé uniquement par certains des élèves promus "coach", au bénéfice des autres, avec la mise en oeuvre des outils "audios" nécessaires pour transmettre une prononciation correcte. Le tous s'appuyant sur les deux livres traitant du Globish et adaptés depuis les éditions françaises par l'éditeur local "Darakwon".

Une page dans le Figaro Magazine du 8 mars 2008

Journaliste célèbre, Yolaine de la Bigne consacre sa rubrique (page 94) "mon époque" à la nouvelle communication "le langage évolue" et cite copieusement le "globish". Une synthèse en une page qui mérite lecture et ne trahit rien de l'idée.

C'est la troisième fois que le Figaro Magazine traite du sujet du globish, dans des rubriques et sous des signatures différentes.

Formation pour les Experts Comptables de la Région Rhône Alpes

L'Ordre des Experts Comptables est organisé en régions. Ses membres en Rhône Alpes partagent la préoccupation de toute la profession: les échanges internationaux mobilisent de plus en plus leurs clients, et il convient de les entourer des conseils et des prestations qui assurent la qualité des analyses en vue des partenariats, des fusions et acquisitions, ou simplement des exportations. La croissance est ici beaucoup plus rapide, et surtout plus prometteuse que dans tous les autres secteurs d'activité.

La pratique de la communication dans ces milieux planétaires mérite donc l'attention des Experts Comptables. Ils avaient invité Jean-Paul Nerrière le 20 mars 2008 pour une formation sur l'approche globish. Trois heures d'exposés et d'échanges pour expliquer rapidement les fondements de l'idée et démontrer sa validité, puis principalement développer le côté pratique en trois sections:

- pourquoi et comment se débarrasser de ses complexes et de ses inhibitions. Comment arriver au niveau d'aisance et de certitude qui autorise l'efficacité. Prise de conscience, et méthodes à suivre.

- comment mieux communiquer sans améliorer son niveau en anglais: recettes concrètes à suivre et à diffuser

- comment améliorer aussi sa maîtrise de l'anglais et l'amener au niveau suffisant sans y passer des heures indisponibles dans  l'exercice quotidien d'un métier prenant: les méthodes, les sites dont le contenu téléchargé va faciliter la vie de tous les jours en communication internationale, leslogiciels aidant la mise en forme, les méthodes de traduction informatisée et les bonnes adresses, l'acquisition de la langue par l'oreille avec des approches à l'opposé exact de celles pratiquées dans les études secondaires, etc,..

Voir  la quatrième rubrique dans la colonne de gauche sur cette page.

Une analyse très complète sur internet, et les habituelles réactions de la communauté espérantiste

Une analyse très minutieuse d'un rédacteur qui semble avoir tout compris sans avoir eu à rencontrer directement l'inventeur du "globish".

A lire sur http://www.webdetente.com/tendances/anglais-globish-langue-etrangere-558

Suit un début de forum, dont les deux premiers intervenants attaquent la solution du globish en ventant la suprématie de l'esperanto.

Ce sujet est traité dans le livre "don't speak English, parlez globish". Il suffira ici de signaler que la communauté espérantiste surveille attentivement tout ce qui se dit du globish sur le web pour immédiatement déclencher un tir de barrage destiné surtout à vanter leur passion.

Le globish ne peut recevoir plus éloquent hommage de la part d'une idée vieille de 120 ans, et fort connue, qui prend la peine de signaler ainsi son inquiétude devant la montée d'une toute jeune idée concurrente. Si le globish ne présentait pas un sérieux danger pour l'esperanto dans son réduit résiduel, les partisans de cette approche n'en parleraient même pas.

En fait, et c'est écrit ailleurs, ces espérantistes n'ont compris que ce qui les touche: leur esperanto a la prétention d'être une langue, avec autant de mots qu'en anglais (615.000, bon courage), une littérature, et une culture mondiale dont le partage voulait gommer les différences, et éliminer les guerres. Deux guerres mondiales et une guerre froide plus tard, et des conflits localisés innombrables, le bilan est clair: ça n'a pas fonctionné. Reste le seul rêve de faciliter la communication internationale...  Le globish y arrive en définissant un niveau d'anglais suffisant, et en amenant les Anglophones à s'aligner consciemment sur ce niveau. S'ils ne le font pas, ils courrent le risque sérieux d'être largués. De nombreux auteurs anglophones, et en particulier américains le proclament maintenant, en parlant spécifiquement du globish. Aucun ne propose d'opter pour l'esperanto.

L'esperanto est une belle idée périmée qui survit dans le coeur de passionnés comme une langue fabriquée de toutes pièces. Le globish part d'une réalité observée concrètement, la diffusion de l'anglais, et entreprend de limiter cette langue à un outil pratique, sans prétention culturelle, mais avec la meilleure certitude d'efficacité pratique partout dans le monde.

Si vous ne me croyez pas, allez à la gare de Pékin pendant les prochains JO, et essayez de vous faire expliquer en espéranto où prendre le train pour Shang-Hai. En revanche, vous pourriez avoir par les annuaires internet découvert à Pékin un correspondant espérantiste que vous retrouverez sur rendez-vous: vous pourrez à loisir discuter avec lui des analogies entre la pensée de Jésus et celle de Confucius. Autre ambition que celle du globish.

Bonne lecture.

Le Globish sur la radio multilingue SBS en Australie

Emettant à partir de Sydney, la station de radio SBS diffuse ses programmes en plusieurs langues, dont le français.

Journaliste français installé en Australie, Xavier Bichon a réalisé de Jean-Paul Nerrière, inventeur du "globish" qui a été diffusé à deux occasions au début de janvier 2007. Durée, une dizaine de minutes, qui suffisent à traiter l'essentiel du sujet.

Vous pouvez l'écouter sur

http://sbs.com.au/elg/french-080110-340.mp3

Rubriques disponibles

Winners speak Globish

An ebook by Elisabeth Noble

Une Anglophone de naissance consacre un livre au "Globish", facile à lire, bien documenté, plein d'anecdotes et d'observations inédites.
A commander sur www.smashwords.com

Winners speak Globish

A native English speaker wrote a book about "Globish". It is full of anecdotes, easy to read even for non Native English speakers, and it gives a fair and balanced representation of the Globish concept.
Order at  www.smashwords.com

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Translations of Globish The World Over

Globish IN Globish - (GNG)

Globish IN Globish est un cours en auto-apprentissage facile à utiliser tout autant sur un ordinateur que sur n’importe quel téléphone portable muni d’une connexion à Internet. Pour l’utiliser, il vous faut être capable de lire et comprendre les 35 mots les plus communs en anglais, et donc repris en globish (les tests ont montré que ceux qui avaient quitté l’école le plus tôt possible maîtrisaient 850 mots d’anglais, ne serait-ce que parce que nous les utilisons dans le quotidien du français). Dès que vous pensez en dominer plus que 350, vous pouvez débuter au niveau que choisirez, en rapport avec votre capacité.
Les deux premières leçons vous sont offertes gratuitement  sur tout ordinateur muni d’un accès à internet.
En travaillant exclusivement en globish, vous pouvez rapidement apprendre la grammaire, et des mots nouveaux, avec leur prononciation, dans le cadre d’une histoire contextuelle. L’apprenant qui arrive au terme de Globish IN Globish devrait se trouver parfaitement à l’aise du niveaux B1-B2 attribués par le « Common European Framework of Reference for Languages » (CEFR).

Globish IN Globish - (GNG)

Globish IN Globish is an extensive self-study course in Globish that is easy to use on either any standard computer with Internet capability. To use it you must be able to read the most-common 350 words in Globish/English. Then you can begin at any point that matches your ability. Try the first two lessons now, for free, on either your mobile phone or on a computer that has Internet.
By working only in Globish, you can quickly learn both grammar, and new words with pronunciation, in a story context. The student who completes Globish IN Globish should be quite capable at B1-B2 (English) levels given by the Common European Framework of Reference for Languages (CEFR).

Éditions internationales

CoréeCoréeLes deux éditions
parues en Corée
ItalieParution en Italie
EspagneParution en Espagne
ChineChineLes deux éditions
parues en chine.